8 CHOSES à ne PAS DIRE pour REUSSIR NOËL !

1. On verra ça à Noël !

Vos parents vous harcèlent de coups de fil pour l’organisation, ça vous saoule et donc vous leur lancez la phrase « Oui oui bah on a le temps, on verra ça à Noël ! »

Et là, en fait, c’est le drame. Noël arrive, et l’organisation de vos parents avec. Celle qui n’est pas du tout la vôtre… Eh oui, mais comme vous n’avez pas négocié en amont, vous êtes battue.

On prend donc sa demi-heure (son heure ?) de téléphone pour caler le planning et ne pas se retrouver avec les parents sur le dos le 23 décembre alors qu’on avait prévu de se faire un concert avec son mec.

2. Vous venez si tôt ?!

Qu’on vienne vous chercher ou qu’on loge chez vous, ne sortez pas le tragique : « 18h ?! Vous arrivez tôt ! Ah ouais non mais bon j’étais pas prête moi ! »

Ça risque de partir en : « Oh bah on se voit jamais et c’est comme ça que tu nous accueille !?!? »

Inspirez…Expirez… Ouvrez la porte : « BONJOUUUUUUR ! »

3. C’est bon j’ai plus cinq ans !

Le repas de Noël se répète de la même manière depuis que votre première dent. Il ne va pas changer, c’est comme les vieux.

Alors, n’essayez pas de régler vos comptes. Noël, c’est chiant et traditionnel, ce n’est pas psychologique et spirituel. On range donc ses « Mais maMAAAAANNN ! C’est bon j’ai plus cinq ans ! » On sourit faussement, et on finit son champagne. Allez reprenez une coupette même.

4. Toujours les mêmes réflexions qu’il y a dix ans…

Ne pas non plus appuyer le fait que Noël est toujours pareil, et que les gens ont toujours les mêmes défauts. Ne dites donc pas à votre tante : « Roh mais ça va, ça fait dix ans qu’on entend ça ! » Ça lui rappellerait, 1. Qu’elle a vieilli, 2. Qu’elle radote.

On lève son verre en souriant : « Chin chin ! » Non, cette année ils n’auront pas votre haine !

5. Oui je reprendrais bien un peu de foie gras

NON ! Vous n’allez PAS reprendre du foie gras. Car ensuite il y a la dinde, les marrons, le fromage, la bûche, les chocolats…. Et vous allez MOURIR, non pire, exploser.

On calcule donc ce qu’on mange pour ne pas vomir toute la nuit. Surtout que demain, il faut recommencer !

6. Tiens ça me rappelle ce dîner merveilleux ou tu m’avais giflée devant tout le monde

Pas de règlement de compte par pitié. C’est ce qu’ils essaient déjà tous de faire, soyez plus forte cette année !

Vous allez être digne, couper la grosse bûche crémeuse s’il le faut, sourire au faux Père Noël pervers qui vous reluque et ne pas dire à tous les mômes que c’est un faux.

Allez, courage, voyez-le corps un sport !

7. Ah le petit frère ! Même grand, c’est toujours le petit préféré hein !

Pas de jalousie (même si OUI, on sait, c’est pas de la jalousie c’est la vérité) car ce sera toujours de votre faute. Non, vous n’entendrez pas : « Oui, c’est vrai ma chérie qu’on a un peu priorisé ton petit frère mais comme on a fait une psychanalyse avec ton père, on a compris. Et pour nous faire pardonner on a décidé de t’offrir ce sac Yves Saint Laurent. »

Non, à Noël, tout le monde est buté (bourré ?) et campe sur ses appuis de jadis. Laissez-les donc choyer votre petit frère chéri et boulotez tout le fromage tranquille.

8. De toute façon tu t’en fous de mes cadeaux !

Ne piquez pas une crise à la fin du repas en vous embrouillant avec votre mère ou votre sœur en lui balançant un « Purée je me trous à te trouver un cadeau original et tu le balances en le regardant à peine ! »

Non, faites une remarque plus subtile, un petit : « Ça t’a plus ? Ah tu n’as pas vu ? C’est pas grave [en lui prenant le bras] On s’en fiche de Noël hein ? » façon mère supérieure qui met mal à l’aise.

Voilà, repas sauvé et surtout n’oubliez pas de vous répéter : « Je suis une fée magique qui ne crie pas, je suis une fée magique qui reste digne… » Ça aide à supporter toute cette bande de gnous !

LP.