Les PLUS GRANDS ratés de la FELLATION
La fellafolle, ce n'est pas toujours tout rose…
Boh, il y a parfois quelques petits ratés (des dents qui traînent, c'est si vite arrivé) !
Mais d'autres fois, c'est carrément la grosse taule !
1. Le rhume
Eh bien oui, la fois où l'on avait un sacré rhume, on n'est pas prête de l'oublier ! Vous avez déjà essayé de manger la bouche fermée avec le nez bouché, vous ??? Pas hyper confort ! Et même plutôt angoissant : la fellafolle, c'est plutôt sympa… mais quand on a l'impression de se noyer toutes les trois secondes, autant dire qu'on a préféré reporter les festivités !
2. Le froid
Il suffit d'un petit courant d'air et un frisson est vite là… Oui, même en plein ébat ! En même temps, en plein hiver, des fois, on se pèle quand même les miches, hein ! Sauf que quand le frisson nous prend à ce moment fatidique, les dents peuvent claquer en moins de temps qu'il n'en faut pour dire « j'ai froid »… Et là, c'est le drame qui fait chanter Zozo !
3. L'allergie
Un peu de pollen dans l'air en été, trop d'acariens dans les draps ou la moquette (non, la moquette n'est pas morte!) et c'est la série d'éternuements qui grattouillent le nez… Mais un atchoum mal placé, c'est quand même la grosse loose. Et attention aux dents !
4. L'étouffement
Pour la fellafolle, il faut de l'amour. Beaucoup d'amour. Mais pas trop d'amour ! Bah non, parce que l'accident est vite là : trop d'enthousiasme et c'est la fausse route. C'est la quinte de toux, c'est les yeux qui pleurent, c'est le nez qui coule… Et encore, on a de la chance si ce n'est pas le vomi !
5. Le cheveu coquin
Et non, on ne parle pas des cheveux de la tête, mais bien de ceux d'en bas… Mais c'est une réalité que nous avons du mal à intégrer et pourtant, quand elle nous arrive en pleine poire, dur d'y faire face avec classe. Parce que quand on mange un cheveu, on a plus tendance à tirer une tronche de dégoût et à fourrer ses doigts dans sa bouche pour trouver l'objet du délit qui nous chatouille le palais. Et quand c'est un cheveu du bas, on a le même réflexe…
6. La mauvaise appréciation
Dans le feu de l'action, on doit avouer que l'on peut facilement perdre ses repères… Un poil trop de fougue, une lumière un peu trop tamisée et une mauvaise appréciation de l'espace et bim. Un pénis dans l’œil. Ou dans le nez. Alors ça chatouille, on gazouille – de gêne, pas de bonheur ! - et on essaye une petite blagounette pour détendre l’atmosphère et c'est reparti. Mais c'est gênant.
AP
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