Ces ATTITUDES que l’on a TOUTES avant de LUI ENVOYER un PREMIER TEXTO
Il y a certaines choses qui ne changent pas. Comme l’envoi du premier texto à un Charmant.
Que l’on ait 15 ans ou 45 ans, on se pose les mêmes questions, on hésite, on réfléchit, on cogite, on se fait des films… Bref, le premier texto nous rend un peu tarée !
1. La fausse galanterie
Le rendez-vous s’est bien passé, mais maintenant, hors de question de le relancer ! Et puis vous réfléchissez deux minutes et vous dites : « Mais en fait d’où ça sort cette règle pourrie ? Pourquoi ce ne serait pas à moi de lui envoyer un message ? »
Alors vous appelez deux trois potes pour leur raconter le rendez-vous, faire des plans sur la comète et des suppositions et puis ensuite, vos retrouvez de nouveau face à votre téléphone… J’envoie ou j’envoie pas.
2. Le poids des mots
Et puis zut, allez, juste comme ça, vous rédigez un message.
« Hello ! Top ce petit café tranquilou ! On se jette une bière un de ces quatre ? [non, trop pote] »
« Bonsoir, j’ai vraiment apprécié ce moment, plein de rire, de complicité… Je souhaiterais grandement te revoir, échanger, continuer de partager ces jolies choses qui nous lient… [putain non il va flipper] »
« Coucou, j’ai eu envie de toi toute la soirée… [Mais bordel qu’est qui me pends ?!]
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3. L’envoi hésitant
Après une heure et demi de dissertation, de suppression de messages, de tournures de phrase recherchées sur Google, vous êtes enfin arrivée à créer le texto parfait. Votre pouce hésitant tourne autour du « envoyer » mais hésite encore.
Allez, comme un saut en parachute, vous appuyez un bon coup : « Merci pour cette soirée, on se refait ça quand tu veux ! »
MEEEEERDE ! Non non non non non non non, pourquoi j’ai mis ça, il va me trouver débile !
4. L’attente insoutenable
Alors, vous passez par tous les stades émotifs possible. Le je m’en-foutisme total : « Oh bah c’est bon allez, c’est envoyé, on verra bien. »
L’inquiétude : « Quand même ça fait 7 minutes et pas une réponse… Il s’en fout en fait il n’a pas passé un bon moment du tout, ou j’ai fait un truc de mal ? »
La colère : « Rah je rêve ! Encore un salaud qui voulait juste coucher avec moi ! Tous les mêmes ces gros bœufs de chiotte de gnou ! »
Le désespoir : « De toute façon ça foire tout le temps… Je vais juste m’acheter un chat et devenir une grosse vache qui se noie dans la glace au chocolat… »
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5. La délivrance
Au bout de dix-sept minutes, vous l’avez insulté, avez vidé une bouteille de vin, fumé deux paquets de clopes et déjà tourné la page sur votre relation pas encore entamée.
Bzzzzz. Un nouveau message : « Merci à toi, super soirée aussi ! Ce week-end tu fais quoi ? »
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
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