Combien de CONNARDS vais-je rencontrer dans ma VIE ?
Des lourdingues, il y en a à tous les coins de rue… Malheureusement, c'est souvent pour ma pomme !
Entre le relou du bar ou le boloss de la salle de gym, on dirait que mon karma veut me faire payer d'avoir triché au contrôle de maths en 5ème C !
Mais sans déconner, combien de connards je vais me coltiner avant d'en trouver un présentable à Mamie Colette ??
1. Le profiteur
Ce connard-là, il est particulièrement sans gêne. C'est le type de lourdingue qui va être ravi d'apprendre que mon père bosse dans la finance, parce que « justement, je cherche un job de commercial ». Ou celui qui va rester squatter chez moi toute la semaine, en prenant bien soin de se servir dans tous les placards, alors que je l'avais simplement invité à mater un film dimanche après-midi… Bref, le gros mollusque qui s'accroche à son (supeeeerbe) rocher, quoi.
2. Le narcissique
Oui, vous voyez forcément de qui je parle… Le gros relou imbu de lui-même qui se caresse le biceps et se prend en selfie dans sa salle de bain ou dans un ascenseur. Sûrement parce que la lumière y est assez tamisée pour camoufler le pot de gel qu'il s'est mis sur sa mèche… Autant dire que je n'ai jamais pu lui trouver de quelconque intérêt, quand nos conversations se limitaient à ses séances de sport, à sa nouvelle promotion ou à son petit chien. L'histoire ne dit pas si le chien a pu le supporter plus longtemps, d'ailleurs.
3. Le lâche
J'ai aussi eu le malheur de croiser le chemin du connard lâche. Celui qui, en plus d'être un gros con inintéressant et un imbuvable macho, n'a pas hésité à dire que c'était moi qui avais cassé la porte des toilettes pour hommes du restau… Des toilettes pour HOMMES ! Ah oui, parce que le lâche n'a pas plus de jugeote que ça non plus, hein. Bref, si c'est pour me coltiner un naze qui va toujours mettre la faute sur les autres et prendre ses jambes à son cou au moindre pépin, autant rester seule avec Jean-Jacques, mon chaton.
4. Le tombeur
Aussi connu sous le nom de « monsieur-qui-drague-tout-ce-qui-bouge », le tombeur n’est pas mal dans son genre de connard, non plus. C’est celui qui n’hésite pas à me prendre pour une grooooosse dinde en me baratinant avec des répliques sorties tout droit d’un téléfilm de M6. Sauf qu’un tombeur, ça se sait ! Et que quand je vois qu’il drague tout être vivant des environs, y compris ma MÈRE (au dernier repas de famille...un massacre!) mais qu’il passe son temps à en faire des caisses pour me dire qu’il a « CARRÉMENT » remarqué ma nouvelle coupe ou qu’il « adooooooore » ma façon de rire, je sens l’arnaque à plein museau ! Et il ne fait pas long feu.
5. Le mythomane
Dans la famille « gros con », je voudrais le mythomane ! C’est le mec qui, coûte que coûte, trouvera TOU-JOURS une « bonne » excuse pour absolument tout type de situation. Enfin, je dis « bonne », parce que c’est en fait le seul à croire en lui-même. Il faut dire que quand il m’a affirmé avoir sauvé deux bébés phoques de la noyade en plein Paris et qu’il avait du rentrer se réchauffer (« parce que la Seine, on dirait pas comme ça, mais elle est vachement froide en fait ! »), pour justifier le fait qu’il m’a planté pour ma soirée d’anniversaire, j’ai eu un léger doute sur sa santé mentale.
6. Le radin
Le connard du porte-monnaie est aussi une vraie plaie ! C’est le lourdingue qui me demande toujours de l’avancer quand on va boire un verre, qu’on va au ciné ou qu’on part lui acheter les dernières Nike qu’il lui FAUT - évidemment- absolument. Sauf qu’étrangement, il a souvent des problèmes de banque au moment même de me faire le virement pour me rembourser avant la fin du mois. Enfin, pour me rembourser tout court, d’ailleurs ! Alors comme je n’ai pas vraiment l’envie - ni les moyens, en fait - de gérer un môme, le radin, il retourne chez sa mère.
AP
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