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Chaque année, c’est pareil : dès le 1er décembre, je suis comme un petit enfant qui attend le Père Noël... Je compte les jours avec mon calendrier de l’Avent Kinder, j’enfile des chaussettes ridicules à tête de renne, je souris béatement devant les sapins qui clignotent partout, même si toute cette overdose de lumière kitsch finit par me bousiller la rétine… Et puis, le 26 au matin, je suis comme un soufflé qu’on a sorti trop tôt du four : pouf, je dégonfle et je pendouille mollement, ne sachant plus quoi faire de ma vie. Mais cette fois, pas question de sombrer !
Je sais déjà que je vais avoir une tripotée de cadeaux pourris sortis de je ne sais quel cerveau en mal d’idées et pour être gentille et bien recevoir les mêmes daubes l’année suivante, il faut faire une bonne tête de circonstances. Grâce aux goût douteux de ma famille (mais est-ce bien ma famille d’ailleurs ?) j’ai appris à avoir toujours le bon mot pour chaque cadeau. Démo.
Noël approche à vitesse grand V et je le vois arriver avec un sentiment mi-figue, mi-citron. Oui c’est chouette, wouhou, on va tous se retrouver, manger, boire et rigoler et… s’engueuler. Ah mais ça on ne peut pas y couper, à un moment, le sujet dérape et aborde la taxe d’habitation payée en retard, le robinet qui goutte ou le fiston qui boit trop vite et on passe d’une ambiance Enfants de la Télé à du Cyril Hanouna… Du coup cette année, je me suis creusée pour esquiver la moindre brèche, le moindre interlude trouble et la moindre vieille tante aigrie qui me sortira que mon mec a trop de piercings.
Comme d’habitude j’ai plutôt tendance à gentiment me laisser aller en société (hé n’allez pas croire que je suis une sauvage hein, je sais me tenir sauf quand il y a des mini-feuilletés aux saucisses sous mon nez), j’ai décidé de devenir une de ces nanas ultra classe qui font rêver quand on les croise…
Dans la grande jungle de la vie, les différentes espèces de professionnels sont d’une diversité digne des plus grands documentaires animaliers. Et j’aimerais en ce jour attirer l’attention sur le Bloggeusis Freelancius, espèce rare dont on ne parle pas assez à mon goût (et je ne dis pas ça parce que j’en fais partie, bien sûr que non). Également connues sous le nom vernaculaire de « bloggeuses freelance », nous occupons en effet une place bien particulière dans la société. Enviées par certains, méprisées par d’autres, les bloggeuses ont un quotidien bien particulier, que voici.
Parfois, avec Gustave, on se regarde amoureusement et on se dit qu’on est vraiment teeellement bien ensemble, tous les deux… Et puis, un petit détail vient nous rappeler que la vie à deux, c’est aussi ÇA !
Marre de dire chaque 31 « Allez, détox parce que là fiouuuu, j’explose ! » Alors cette année j’ai décidé de passer les fêtes en « mode raison », en accord avec mon estomac pour ne pas finir, le 2 janvier, en mode tronc qui l’on doit faire rouler. Ça commence MAINTENANT
Elle vient de tomber, elle est toute fraîche comme la neige vierge... c'est la photo de famille du prince William et de Kate, avec leurs deux enfants, pour Noël ! Comme le veut la tradition, le couple a posé pour la traditionnelle photo de Noël en famille. Et toute la petite famille est réunie dans une tonalité bleu pastel que certains petits malins verront sans doute comme un indice concernant le sexe du futur bébé...
Cette année, j’ai décidé de me fixer de « bonnes résolutions » un peu plus globales (un peu moins contraignantes), et de les étaler sur l’année plutôt que sur les trente-deux minutes que je passe sans clope après avoir dit un peu éméchée (toute bourrée) « Alleeeez moi, en 2018, j’arrête la clooope ! » Je préfère me dire « OK ma vieille, cette année, tu vas faire mieux que l’année passée », et me faire une grande liste des objectifs que je pourrais atteindre et des foirages à ne pas reproduire. C’est ça après tout l’important : être à peu près contente de l’année qu’on a passée non ?!
Se faire détester par sa belle-famille est très simple, se faire aimer, un poil plus difficile… Et surtout, ne pas sortir d’énormes bourdes est une mission périlleuse. On va donc éviter deux trois trucs pour tenter de briller à tous les repas de famille et de se faire (presque) apprécier !
Bah oui, après tout, Noël ce n'est pas que pour les mioches ! Zozo et moi on a aussi le droit de se transformer en fans de guirlandes et de chantonner des comptines débiles à base de neige toute la journée si on a envie. Alors ça y est, j'ai amorcé notre transformation en Père et Mère Noël… Et c'est grandiose.
Je ne suis pas une professionnelle de Noël. Chaque année je m’y prends trop tard, je cours partout en glissant sur des feuilles mortes, je me ruine en cadeaux pourris « Allez tiens, un livre de recettes, c’est bien un livre de recettes… » et je mange trop. Je ressemble donc à une grosse barrique emmitouflée qui court de BHV en Fnac pleine de haine. Cette année, j’ai donc décidé de copier ceux qui voyaient Noël comme la période la plus belle de l’année. Ils sont là, ils paradent le sourire aux lèvres, les cadeaux déjà prêts tout bien emballés avec de beaux plis et des froufrous en bolduc alors je me suis dit : moi aussi je peux y arriver.